Code de conduite de Windows Live Spaces.

J'ai été très surprise de recevoir un courriel m'informant que mon espace Perso « painperdu1969 » avait enfreint le Code de conduite Windows Live Spaces, en raison d' images représentant supposément l'acte sexuel.

En tant que Québécoise vivant en France depuis 5 ans j'ai toujours raconté dans mon blog les histoires de mon quotidien de la façon la plus inoffensive possible.

Dans ce blog, je partage également ma passion pour la lecture et le magnifique travail de différents photographes et illustrateurs. Ces images sont artistiques et nullement de nature pornographique.

Je suis vraiment choquée que Windows Live Space se permettre, depuis plusieurs semaines, de mettre en suspens mon univers sans même m' adresser la moindre explication.

C'est après plusieurs messages que je comprend enfin que certaines images d'artistes que j'admire profondément explique cette suppression. Mon unviers est de retour moyennant la suppression d'images de HR GIGER et de Ron Mueck.

HR GIGER: fondateur du concept de la Biomécanique, mariage fatal du vivant et de la machine. Dessinateur, peintre, sculpteur et technicien. Surréaliste, sombre, fantastique , futuriste, fondateur d'Alien, ses créations sont profondément marquées par le sexe. Visionnaire et résolument moderne, l’œuvre de H.R. Giger est immense et paradoxale.

Ron Mueck: Sculptures monumentales, ou étrangement petites ces pièces créent une tension entre un univers réel et un monde fantasmagorique. Les personnages plongés dans leur pensées, semblent animés d'un souffle de vie. Veine, rides et ridules, pilosités, rougeurs: aucun détail n'est épargné pour arriver à une perfection telle que la ressemblance avec le vivant est troublante.

Je pense sincèrement que ces deux artistes ne méritent pas une telle censure de la part de windows live Spaces et à ce titre je suis d'autant plus convaincue du bien fondé de ma migration sur blogspot.

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Le salon des vignerons indépendants de France.

Les salons des VIGNERONS INDÉPENDANTS, des salons pas comme les autres où « le vin a un visage ».

Les exposants sont uniquement des vignerons indépendants membres des Vignerons Indépendants de France.Toutes les régions viticoles y sont représentées par leurs meilleurs ambassadeurs : les producteurs eux-mêmes.

Chacun d’entre eux avec ses mots et son histoire, vous parlera de son savoir-faire, du ou des cépages qu’il associe à son terroir, pour donner naissance à son produit : SON VIN.

Naturellement j'y serai escorté de LUI et de notre indispensable caddie!

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Pain°Perdu en vadrouille!

Puisé chez Alex ;-)

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Pain°Perdu, face à la grève!

Depuis mercredi dernier, la grève prend les usagers en otage et rend le parisien insupportable à la puissance 10. Cette proximité amplifiée sur les quais et dans les wagons prennent des allures d'odeurs nauséabondes, de regards meurtriers et de visages cernés.

Personnellement, la grève à tendance à m'amuser malgré tout. Cette notion du temps qui se modifie et devient tout à coup incertaine et incontrôlable me permet de lâcher prise. Dans le métro, écouter les conversations qui prennent vie, observer les regards des gens qui se croisent et les habitudes qui changent, est plutôt agréable. Dommage que seul une grève provoque de tels changements dans les rapports humain et ça ne concerne pas la majorité des gens.

Pour le parisien, la grève est invivable et tous les stratagèmes deviennent envisageables pour se rendre au travail.

Après une semaine catastrophe, vendredi arrive enfin.

Après avoir réussi tant bien que mal à me rendre à la station Champs-Élysée Clémenceau, j'apprends après 20 minutes d'attente que ma correspondance sur la ligne 13 est annulée. Naturellement, tout le monde se précipite vers les autres correspondances mais l'affluence ne nous permet même pas d'accéder au quai. Je décide donc de sortir de la bouche de métro et de me rabattre sur les Vélib; naturellement ils sont tous partis.

Paris se transforme alors en une colonie de puces qui se pressent dans tous les sens.

Tranquillement, je décide de traverser aux Invalides le pont Alexandre III et ainsi me diriger vers ma petite maison de poupée. J'estime à environ une heure de marche mon parcours pour rentrer chez moi. Ma montre indique 18 heures.

Comment ne pas remarquer tous ces touristes en parfaite union avec la Tour Eiffel illuminée et clignotante.

Je m'arrête enfin, tout Paris est illuminé sous mes yeux.

Je me surprend à ne pas comprendre pourquoi, je ne flâne que très rarement après le travail dans ce Paris si magnifique.

Cette grève, en plus des revendications qu'elles soulèvent, nous éloigne de notre routine et nous permet d'envisager la vie sous un autre jour.

Une chose est sûre, cette perte de contrôle ne laisse personne indifférent...

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Attention, Pain°Perdu reprend du poil de la bête!!

Samedi dernier, je n'avais qu'UNE IDÉE EN TÊTE.... Celle de me procurer un ensemble à raclette.

Je ne sais pas si cette envie s'explique par le vague souvenir d'un rêve épicurien ou simplement l'automne qui frappe à notre porte, mais la ferveur et l'acharnement que j'ai déployé pour y parvenir semblaient presque irréels. Je définirais mon entêtement à la réalisation de ce projet par de la motivation, LUI traduirait ça en deux mots: emmerdeuse de première.

Après avoir enquêté toute la journée à la recherche du meilleur rapport qualité/prix la quête devient contagieuse et LUI se laisse finalement prendre au jeu. L'achat de l'ensemble à raclette se poursuit les bras bien chargés de patates, charcuteries, légumes, fromages et vins.
Bref, tout pour une soirée RACLETTE digne de nous.

Je suis comblée!

Sur le chemin du retour, le petit quatre heures croise notre route. Ce moment ou tous et chacun se laisse séduire par une petite collation, sucrée pour les uns et salée pour les autres. Cette rencontre me rappelle instantanément mon bout de croûte dans les talons. Dans la première boulangerie, LUI craque pour un gâteau basque et moi je perds tous mes moyens devant une fougasse poulet/champignons.

En soirée, la petite fougasse qui se voulait inoffensive se transforme en grosse boule dans l'estomac et la raclette en une image insupportable. Mon week-end s'est réduit au canapé et mes soirées en cure de repos.

LUI, lorgne l'ensemble à raclette inerte sur l'étagère et doute de la pertinence de ce parcours du combattant.

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Réveillon 2008, nous serons QUATRE!

Quel bonheur,
Même si ...
Un tel événement nécessite, une grosse préparation mentale et PHYSIQUE...!

Naturellement, je me sens à la hauteur de la situation!

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« De nos jours, l'on ne va plus à l'asile on fonde le cubisme.» PABLO PICASSO

Un détour au Musée National Picasso de Paris, dans le Marais, un moment de pur bonheur!
Pablo Picasso le génie de la démesure...

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Pj Harvey, un voyage au fond de l’âme.

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Pain°Perdu fait peau neuve!

Que pensez-vous de cet univers?

En ce qui me concerne j'ai tout de suite été séduite par The black frog.

Pour découvrir son univers c'est ici

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Mea Culpa «A»!

Un soupçon de vérité escorté d'une montagne de fiction.
Un petit billet qui se voulait inoffensif et qui n'avait que pour mission de te faire sourire...

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FEMMES DE RÉCONFORT, Esclaves sexuelles de l'armée Japonaise par Jung Kyung-a

Une bande dessinée révèle les blessures des "femmes de réconfort".

Pendant l'occupation de la Corée par le Japon, lors de la seconde guerre mondiale, près de 200 000 femmes coréennes ont été kidnappées, déportées, violées, battues, tuées, abandonnées. Peu en ont réchappé, et les survivantes sont restées blessées, physiquement et psychologiquement.

Jung Kyung-a, jeune auteure coréenne, raconte avec ce livre l’histoire vraie de ces "femmes de réconfort", envoyées dans les camps de l’armée japonaise pour y servir d’esclaves sexuelles.

"Plus que tout je refuse catégoriquement le terme de femme de réconfort puisqu’il signifie quelque chose de chaleureux et doux. Nous n’étions pas des femmes de réconfort. Nous étions des victimes de rapts et de viols commis par l’armée japonaise ! Nous ne cherchons pas à punir les coupables individuellement, nous attendons que l’état Japonais reconnaisse son crime officiellement. Reconnaître et voir la réalité en face est un moyen d’apprendre d’avantage."Jung Kyung-A

Je vous recommande fortement ce manwha (manga coréenne)

Pour en savoir plus c'est ici

Bonne lecture!

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Pain°Perdu en scooter?

Il y a de ces journées ou des idées nous viennent sans aucun contrôle possible. Des idées de réaliser des trucs complètement irréfléchis et ou la logique ne fait pas partie du rendez-vous. Je m'explique...

J'habite à Paris depuis 5 ans et pour des raisons de survie j'utilise les transports en commun. Je ne possède pas de permis de conduire et je cohabite avec une personnalité plutôt lunatique, ce qui me confirme dans la catégorie des personnes à risque.

Bref dernièrement pour des raisons pratiques, j'ai eu la terrible envie de me déplacer en scooter. Après un jeu de séduction plus que convainquant avec une irrésistible petite vespa Lx 50 je craque et je suis prête à tout pour l'obtenir...

Heureusement la deuxième personnalité qui m'habite me force à peser le pour et le contre, à faire un budget rigoureux et surtout prendre de l'information sur les scooters et sa conduite.

Au final, celui qui m'a réellement ouvert les yeux est A un chauffeur de scooter vespa Lx 125 blanche et ami de LUI . Par sa vision inquiétante de la conduite motorisée à Paris, je décide de renoncer à mon projet.

Les jours suivants et cette histoire loin derrière moi je réalise à quel point cette idée de me procurer un scooter était absurde. Souvent, lorsque j'observe la circulation, les bouchons, les infractions qui sont commises je me sens réconforté dans mon choix jusqu'au jour où...

Un matin de grève, à la Bastille toute tranquille à observer le bordel routier sur un coin de rue petit sourire en coin, je me fais presque rouler dessus par un scooter. Rapidement, j'identifie ce chauffard impoli et je réalise que peut importe nos choix dans la vie le risque existe. Toute mon histoire d'achat de scooter me revient en mémoire...

Finalement avais-je fait le bon choix?

C'est pleine de doute que je regardai le scooter vespa Lx 125 blanc disparaître habile comme un poisson dans l'eau, une écharpe noire et un sac en bandoulière c'est avec certitude je reconnu A.

Fin