LUI à mal...
IL est courbé, vulnérable et inactif.
Moi?
Je vais me transformer en infirmière particulière...
Vous voyez ce que je veux dire?
Qu'est-ce que je ferais pas pour la bonne cause.
Fin.
28 mai 2007
26 mai 2007
Londres: L'art de lever le petit doigt.
Une semaine déjà depuis ma petite parenthèse à Londres. De très bons souvenirs mais quand même des déceptions.
Je dois vous avouer que ma première rencontre avec l'Eurostar n'a pas eu un franc succès.C'est seulement après avoir manqué mon train pour cause de fusion complète avec mon café crème matinal bien tranquillement installé au café de la gare, que j'ai compris que Lui et moi devions nous présenter 30 minutes avant le départ pour l'enregistrement.
Bravo!!
Conséquence?
Obligation de prendre le prochaine train 30 minutes plus tard.
Au retour on me fouille mon sac à dos et rapidement ma petite culotte gênée se retrouve dans la main du douanier. Je réalise que quelque chose ne va pas normalement. Mon couteau Corse, modèle unique, couteux et le complice indispensable à mes piques-niques gourmands est la cause de tout se branle bat de combat.
Bravo!!
Conséquence?
Après une plaidoierie exprimé dans un anglais digne d'une enfant de 2 ans convaincante mais non-suffisante on m'apprend que mon couteau me sera confisqué pour être détruit.
Bref entre les deux mon voyage fut très agréable. Entre le Camden Market et le Brick Lane Market, Entre un fish 'n ship et une Guiness, Entre le Covent Garden et Soho, entre Buckingham Palace et Kensington Gardens j'ai vraiment passé de beaux moments.
Imaginez-moi Chez Harrods parmi une faune bien nanti. Pain Perdu la richissime, à la limite du blasé dégustant sa pizza inabordable et sirotant son verre de rouge si précieux. Quel plaisir de jouer à exister dans un autre univers que le sien.
Aujourd'hui c'est escorté de mon petit sac en cuir de Londres que j'arpente les rues du 14ième arrondissement en me disant que j'y retournerai.
Fin
18 mai 2007
Pain Perdu en vadrouille à Londres.
Je pars demain matin ( plusss matin que ça tu meurs!!!) escorté de LUI. Faites vite pour m'envoyer vos bonnes adresses!!!
A suivre....
Fin
14 mai 2007
Une image vaut mille mots
13 mai 2007
Autonome: Qui ne dépend de personne.
Je vis à Paris depuis 4 ans et je dois avouer qu'il y a des manques dans ma vie franchement impossible à substituer. L'exemple le plus révélateur est le beurre d'arachides. Depuis mon tout jeune âge, je suis une fidèle dépendante invétérée du complice de mes toasts matinales.
La solution? Suggérer fortement à nos visiteurs québécois occasionnels de se munir de pots de beurre d'arachides lors de leur visite. Faire miroiter l'idée d'un séjour installé dans un tout inclus sur le paillasson (tapis en sus) réussis à persuader les esprits les plus tenaces.
Le seul problème est que depuis septembre 2005 plus personnes ne vient nous visiter. Comment expliquer ce phénomène? le manque de proximité, la mode du cocooning, une pénurie de beurre d'arachides au Québec?
J'en profites pour rassurer tout ceux pour qui notre bien-être inquiète, qu'après avoir fait une quête inimaginable au coeur de Paris nous avons finalement trouvé. Je précise quand même, la larme à l'oeil, qu'il n'a pas complètement le même goût que chez nous. Mais bon, avec un peu d'imagination c'est mieux que rien. Il suffit simplement de créer l'habitude en accord avec ses papilles gustatives.
Toutefois, ne vous imaginez pas vous en sortir aussi facilement!
Pour les visiteurs éventuels je vous rappellerai simplement que la quête du sirop d'érable déçoit fortement....
Fin.
12 mai 2007
05 mai 2007
Sherpa: n.m Guide de haute montagne et souvent les meilleurs aides pour porter les charges aux camps.
Le prélude de mon aventure à Erquy, en Bretagne, se traduit par le poids de mon sac de randonnée équipé de la veste de LUI en bonus. Moi le sherpa du week-end c’est avec plaisir que non sans épreuve j’ai finalement atteint le lieu du rendez-vous et rejoint ma meute sportive, non sans un plaisir partagé.
Autant de personnalités diverses, de gentillesses, de sourires, de rencontres ULTRA agréables et généreuses.
Moi le photographe officiel j’accompagne 5 coureurs pour un 15km et un 32km par «A» notre idole à tous. Les motivations? Performance pour les uns, curiosité, aller au bout de soit même ou simplement prendre plaisir à vivre un moment fort ensemble pour les autres.
Ce que j’admire par-dessus tout c’est le regroupement de tous ces gens rassemblés pour un même événement. Que ce soit les bénévoles, les supporteurs, la solidarité entre les coureurs, ces démonstrations de générosité me touche, me rapproche des gens et me réconcilie avec plein de choses que je trouve moche dans la vie.
Lui, pour ce week-end, est exceptionnellement mon assistant photographe officiel. En raison d’une blessure il doit s’abstenir de faire ce qu’il aime et troquer sa déception contre un sourire complice. Je sais à quel point cette désillusion est lourde à porter mais je suis fière de la façon dont il prend plaisir à travers chacun et réussi à profiter de la satisfaction des autres.
Il y aurait tant de choses à dire sur la Bretagne, les falaises, le peuple escargots et Jerry. Que ce soit le groupe Les Baragouineurs, la randonnée éclair escortée de mes SUPER sandales performantes ou le bruit de la mer au réveil. Je me rappellerai les petits plaisirs de la table, la rillettes aux maquereaux, le miel d’été, l’odeur de la bonne soupe de «N» et le sourire permanent de «P».
En un mot tout était PLUS-QUE-PARFAIT.
Au retour dans la voiture, je me suis dit qu’APRÈS, malheureusement, ce week-end serait souvenir.
Fin.
Autant de personnalités diverses, de gentillesses, de sourires, de rencontres ULTRA agréables et généreuses.
Moi le photographe officiel j’accompagne 5 coureurs pour un 15km et un 32km par «A» notre idole à tous. Les motivations? Performance pour les uns, curiosité, aller au bout de soit même ou simplement prendre plaisir à vivre un moment fort ensemble pour les autres.
Ce que j’admire par-dessus tout c’est le regroupement de tous ces gens rassemblés pour un même événement. Que ce soit les bénévoles, les supporteurs, la solidarité entre les coureurs, ces démonstrations de générosité me touche, me rapproche des gens et me réconcilie avec plein de choses que je trouve moche dans la vie.
Lui, pour ce week-end, est exceptionnellement mon assistant photographe officiel. En raison d’une blessure il doit s’abstenir de faire ce qu’il aime et troquer sa déception contre un sourire complice. Je sais à quel point cette désillusion est lourde à porter mais je suis fière de la façon dont il prend plaisir à travers chacun et réussi à profiter de la satisfaction des autres.
Il y aurait tant de choses à dire sur la Bretagne, les falaises, le peuple escargots et Jerry. Que ce soit le groupe Les Baragouineurs, la randonnée éclair escortée de mes SUPER sandales performantes ou le bruit de la mer au réveil. Je me rappellerai les petits plaisirs de la table, la rillettes aux maquereaux, le miel d’été, l’odeur de la bonne soupe de «N» et le sourire permanent de «P».
En un mot tout était PLUS-QUE-PARFAIT.
Au retour dans la voiture, je me suis dit qu’APRÈS, malheureusement, ce week-end serait souvenir.
Fin.
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